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21 mai 2009 4 21 /05 /mai /2009 11:51
Carte 10: Col du petit Saint Bernard au refuge Deffeyes. La 2éme journée commence par 2 ascension d d'environ 300m D+ chacune (Col de la Traversette, passage de la Louie Blanche), une bonne mise en jambe. La journée continue avec le Col de la Louis blanche puis le vallon de la belle combe qui je l'espére sera effectivement belle pour arriver au refuge Deffeyes à l'issue d'une nouvelle ascension.

Carte 11: Refuge Deffeyes à Promoud. Il paraît que le chemin jusquà Haut pas est magnifique technique et plein de rochers. A partir de là nous engageons une descente interminable pour arriver au fond de la vallée en passant par Promoud.

Carte 12: De Promoud a Morgex, la descente interminable puisque nous serons passé de plus de 2800m (Haut pas) à 960m (Morgex) avec plus de 12km (à faire ne courant bien entendu pour ceux qui seront en forme!!!).

Carte 13: De Morgex au Col du Sapin. Le morceau d'antologie de cette PTL 2009. 1950m D+ avec l'ascension de la Tête de Licony. En gros 4h de grimpette en plein midi puis vient le col de licony qui nous laissera un peu de répis (on redescend), puis on continue sur le Col de Praz condu (1888m) pour remonter sur le Col du Sapin (2480m). En sortant de là je pense qu'on aura besoin d'une bonne petite pause.

Carte 14: De Col du Sapin à Refuge Bonatti. Cette partie peut être en fait notre pause de la journée. Apparemment parcours tout en descente pour arriver à ce refuge qui peut éventuellement rappeler de mauvais souvenir à Philippe...

Carte 15: De Refuge Bonatti à Refuge Elena. Ce passage est un de mes préférés. Paysages magnifique, chemins étroits et roulant. Un final idéal pour une journée qui devrait laisser des traces. On passera au moment du coucher du soleil et il faudra impérativement prendre des photos.
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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 21:49

Avant de commencer la présentation du tracé voici quelques chiffres qui vous donneront une idée sur notre petit périple.
Distance mesurée sur Google earth: 236,69 km, mais arrondissons a 237.
Dénivelé mesuré sur les cartes fournie par l'organisation 15 562m D+ donc 15 562m D-.
Temps passé sur le parcours: Du 26 août à 0 heures au 29 août 22h soit environ 94 heures (on espère!!!)
Nombre de barres de céréales et de gels consommé sur la course: en gros 1 par heure
Nombre d'heures de sommeil: 12h, c'est pas mal
....

Après ces présentations voici un petit descriptif de l'ensemble du parcours. Vous pouvez télécharger les cartes sur le site de l'utmb www.ultratrailmb.com dans l'onglet événements et rubrique téléchargement (il y a 24 cartes et vous comprendrez que je ne les affichent pas sur le blog).

Carte 1: On dira la partie la plus connue du parcours. De Chamonix aux Houches en passant devant le rocher des Gaillands. Environ 8 km pour se mettre en jambe et surtout ne pas partir comme des fous.

Carte 2: Des Houches au col du Tricot. Les premières difficultés pour se mettre dans le rythme. 2 ascensions qui permettent de prendre un rythme régulier avec entre les 2 un belle descente se finissant sur un pont suspendu (à confirmer lors de la reco de Juillet).

Carte 3: Du col du Tricot au Mont Joly. La première vraie difficulté du parcours avec l'ascension du Joli et ses 1500m D+. Tout d'abord il y a la descente du Tricot technique, raide mais courte et surtout de nuit. Puis passage aux Chalets de Miage (très bonne tartes aux Myrtilles) remontée courte mais raide sur le chalet du Truc puis longue descente roulante jusqu'à la route des contamines et la, le gros morceau en espérant qu'il ne fasse pas chaud. L'ascension du Joly et le genre de grimpette qui peu vite devenir galére si il fait chaud et que l'on est pas en forme. Pas d'ombre hormis les 400 premiers mètres de dénivelé, pas d'eau, mais par contre, dés que l'on se retourne, un point de vue magnifique sur la chaîne du Mont Blanc.

Carte 4: Du Mont Joly au col du Joly. Là pour tout vous dire je ne connais pas. Une chose est sure, faudra pas courir sur cette partie car la moindre chute peu devenir problématique vue la pente qu'il y a de chaque côtés. Cette traversée nous amène à l'aiguille croche (là je connais puisque j'y skie tous les hivers) et une grosse descente sur les pistes jusqu'au col du Joly et le Chalet chez Gaston. Faire attention en cas de beau temps et prendre suffisamment d'eau.

Carte 5: Du col du Joly au tumulus au dessus des plans Jovet. Partie roulante mais vallonnée du col du Joly jusqu'à l'arrivée du télésiège de Bûche croisée. On se balade sur le sommet des pistes des contamines, à cheval entre les pistes dec Contas et celles de Hauteluce. Paysage magnifique, Dôme de Miage, Bérangére, Mont Blanc. Puis on redescend légèrement au pied du col de la fenêtre. Pour atteindre ce col ascension raide et caillouteuse et la descente qui suit est la même pour s'adoucir en arrivant au tumulus. Au col de la fenêtre profité du paysage que vous offre le vallon de la Balme est ses Chalets et pensez que vous êtes passé là de nuit lors de l'UTMB 2008 ou 2007...

Carte 6: Du tumulus à la grande écaille. Du tumulus vous vous souviendrez de l'ascension du col du Bonhomme en file indienne lors de l'UTMB, les premiers coups de mous et le serpentin de frontale et peut être que vous vous direz heureusement que c'était de nuit comme ça je ne voyais pas le sommet. Arrivé à la cabane ce n'est pas fini, encore une longue traversée en faux plat puis quand vous voyez apparaître le refuge du Bonhomme à 500m de vous, à gauche toute pour atteindre la tête nord des fours. Puis de la tête nord voyagez de cairn en cairn à flan de montagne jusqu'à la grande écaille. Sûrement un des passages les plus technique de notre balade.

Carte 7: De la Grande Ecaille au col de la Seigne. Redescende trés raide dans les cailloux sur 300m de dénivellé pour se retrouver au pied de Robert blanc. Remonté trés raide pour accéder au refuge toujours dans les rochers et toujours aussi technique. Puis longue traversée jusqu'au col de la Seigne. Fin de journée et sûrement un éclairage magnifique sur l'ensemble du massif.

Carte 8: Col de la Seigne à la Pointe Rousse. On entre dans un domaine inconnue pour moi et mes compères. Cette partie semble plus roulante. Le souvenir que je garde du col de la Seigne c'est les prémices d'une journée magnifique et chaude lors de l'UTMB 2008, c'est aussi cette longue traversée dans les pierriers pour rejoindre le col des Chavannes que je voyais effectuées par des randonneurs en me demandant où ils allaient?

Et ensuite l'inconnu. Sur la carte le parcours semble roulant et sans dénivellé important, et puis de toutes les façons ildevrait faire nuit!!!

 

Carte 9: De la pointe Rousse au Col du petit Saint Bernard. La fin de notre premiére journée si tout se passe bien. Un final tout en descente pour nous finir les quadriceps correctement!!!

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12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 16:56

Ce week-end se déroulait le trail des eaux vives à Marseille, une superbe course de 26Km et 1700m de dénivellé positive sur les hauts de Marseille dans le domaine de la Barasse, un trail court que je pouvais intégrer dans ma préparation.
Profitant du pont du 8 mai, je suis donc parti passer un week-end agréable alliant entraînement et famille.
Côté course, le programme était pour moi intéressant : un trail court avec malgré tout un dénivelé intéressant (c’est à quelque chose près 1/10eme de la PTL).


Dès le matin, le temps est magnifique (même si trois goûtes sont tombées au moment du départ), et la température s’annonce chaude pour la journée. Le parcours est tout simplement magnifique, domine tout Marseille et sa baie, et emprunte des vrais terrains trails (100% de terres et cailloux).

Après un départ rapide sur piste forestière (trop rapide pour moi), nous attaquons directe dans la pente pour atteindre les sommets du Mont St cyr (616m) puis du Mont Carpiagne (646m) par des petits " singles ", et des passages pour le moins techniques dans des canyons asséchés. Très vite, je me sens les jambes lourdes et ressent des difficultés face à la pente. Mais la route est longue puisqu’il reste 1/3 du Kilométrage. Dans la descente, je suis plutôt pas mal et remonte quelques places même si je suis contraint de ralentir (mal au jambes).

Dans la deuxième ascension, très pentue et technique, je me sens bien. J’essaie de gérer…et au bout de 16,5Km, j’atteint le col de Galvaudan en 15eme position. Au départ, mon projet était d’atteindre l’arrivée en 2H30… Mais à ce moment, je sais que je suis déjà en retard ! ! ! La dernière ascension m’arrive comme un coup de massue. La pente n’est plus très raide mais la chaleur est très pesante. Nous sommes à l’abris du vent et je n’arrive plus à trouver du jus pour avancé. En 2Km, j’ai vider près de 500mL d’eau… et effectué toute la côte en marchant…

Au col, je sais qu’il reste 4 bons Kilomètres de descente avec un coup de cul pour remonter à la table d’orientation… Tout devrait rouler seul, mais je suis tellement accablé par la chaleur, que les jambes n’avancent plus, même en descente (max 14Km/h). Je perds alors près de 3’ sur les coureurs qui étaient avec moi au col, et par la même occasion 8 places pour terminé seulement 23eme en 2H45’.

Que c’est-il passé ? : le mental, un peu faible ce jour là (ce n’était pas un objectif pour moi mais une sortie longue d’entraînement !), l’angine qui n’est pas totalement finie, la chaleur (première grosse chaleur !), l’Ardéchois et les 57Km effectué 6 jours avant, le manque d’entraînement et de vitesse (on est encore tôt dans la préparation)… En tout état de cause, c’est un peu déçu de ma prestation que je termine cette journée…

Le lendemain, je me suis programmé un petit entraînement et une randonnée en famille dans les calanques. Le potentiel entraînement dans ce coin est tout simplement énorme, avec des paysages fabuleux… Je reviendrais…

Prochain trail, un autre trail court, le Trail du pont du Gard le 21 mai (26Km et 1100mD+)…

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 22:35


Bien des coureurs s’entraînent à des vitesses trop rapide, et pensent que c’est le meilleur moyen de progresser. Mais en réalité, c’est en courant lentement, en totale aisance respiratoire (en pouvant discuter facilement), que le coureur progressera durablement.

Plus concrètement , à la question, " êtes-vous en endurance fondamentale quand vous courez à 80% de votre FCM?’’, beaucoup de coureurs répondent " oui ", alors que le véritable travail de l’ " endurance " dite " endurance fondamentale " se situe entre 60 et 70% de la FMC. Erreur de leur part, pouvant être à l’origine d’une progression ralentie voir même de contre performance.
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5 mai 2009 2 05 /05 /mai /2009 13:50

Depuis jeudi dernier, une douleur désagréable envahit ma gorge!!! Dans un premier temps, je pense que ce sont les inhalations de chlore et de toutes les cochonneries qui empoisonnent les maîtres nageurs dans les piscines. Mais la douleurs est de plus en plus intense... Elle m'empèche de manger et même de dormir... Pourtant samedi, il y a le trail "l'ardéchois", le deuxième gros rendez-vous de notre préparation pour la PTL... je pars donc avec mes camarades sans trop savoir si je pourrais finir la course. Le vendredi, alors que nous reconnaissons les premiers Km de la course, je ressens une grosse fatigue. Mais rien à faire, je serai au départ (au moins...) et advienne que pourra!!!
Je me dis, qu'en courant aussi longtemps et donc en aillant une température corporelle très haute pendant des heures, je tuerai mon angine...
Le samedi matin, c'est dûr: réveil à 6 heures du matin, alors que je n'ai pas dormi de la nuit. Le terrain en pente du camping m'oblige à remonter dans la tente toutes les heures, voilà deux nuits de suite que j'ai de la fièvre (duvet trempé par la sueur et donc froid toute la nuit...), et à chaque fois que j'avale ma salive, je reçois comme des aiguilles dans la gorge.

Malgré tout, durant la course, tout se passe bien... je pars tranquillement pour les 10 premiers Km de montée (800D+), pour voir un peu ce que ça donne. Puis je fais toute la course sans trop de problème. Je teste une stratégie: les montées en marchant vite (6 à 7Km/h), les descentes en déroulant...
A chaque ravitaillement, impossible de m'alimenter. La gorge est comme fermée... Seul le liquide passe... En tout et pour tout, je n'aurais pu consommer que: 1gel (énergie longue durée, 1barre et demi (énergie longue durée), 500mL de boisson énergétique et quand même 4L d'eau (ce qui me sauve je pense...).
6H40 plus tard, je franchis la ligne d'arrivée à Désaignes avec 56Km et 2400m de D+, relativement content d'être arrivé.
Un regret cependant, je n'ai pu apprécier à sa juste valeur la vache à la broche que nous avaient préparé les organisateurs à l'arrivée...

Deux jours plus tard, l'heure est au bilan: j'ai toujours ma grosse angine blanche à streptocoques et ulcérations (dixit le médecin), et un peu de fièvre. Donc la grosse pharmacie rentre en action et je suis bon pour un arrêt de 8 jours de travail...
On peut donc en conclure que le TRAIL NE SOIGNE PAS!!! (pour ceux qui pouvaient y croire...)
Au delà de ces petits tracas, les jambes vont bien. Je pense donc aller faire le Trail des Eaux Vives vendredi prochain, le 8 mai à Marseille (26Km et 1733mD+)... On dira que ça fait 8jours!!!

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4 mai 2009 1 04 /05 /mai /2009 13:08

De retour de cette magnifique course il m'aura fallu une bonne journée de repos pour pouvoir récupérer convenablement...
Nous sommes donc arrivés à Désaigne Vendredi sur les coups de 13h au camping le Soleil Rouge. Les premiéres consignes serrez vous on va avoir du monde pour la course. OK, bilan sur un emplacement 4 tentes plus 3 voitures, difficile de plus se tasser!!! et en plus on nous fait payer le tarif Haute saison alors que affiché à l'entrée nous sommes en pleine période basse. Heureusement l'eau des douches d'aprés course était .......... à peine tiéde.

Plus sérieusement, le retrait des dossards s'est trés bien passé malgré les 1400 participants, notre petite reco du départ nous a bien fait gamberger sur l'attitude a adopter quant au dit départ du lendemain (en gros une côte de 10km avec quelques replat) et par contre un grand, un trés grand bravo à toute l'organisation et à l'ensemble des bénévoles (Les repas, que ce soit la pasta party ou le repas du lendemain sont servi à table comme au resto, les bénévoles sont d'une gentillesses exemplaires et les assiettes sont bien garnies, je pense que beaucoup de courses devraient prendre exemples!!!).




Quant à la course que dire, C'est un parcours magnifique, trés varié à la fois technique et roulant. Heureusement que le soleil a fait cache cache avec les nuages sinon on aurai vraiment souffert.

Les cotes sont de vrai belles ascension avec parfois du "dré dans le pentu" qui en a calmé plus d'un, les descentes sont un vrai régale pour ceux qui ont des quadriceps bien développé et un sens de la trajectoire inné.

 
Je pense que nous sommes tout les 3 comptant de nos perfs.

Emeric met 6h40 en étant malade et en ne pouvant plus s'alimenter, il ne pouvait que boire à cause d'une grosse angine. A compter de ce jour je l'appel le mutant parceque franchement faire ce qu'il a fait c'est fort. Par contre qu'il ne dise plus qu'il n'est pas entrainé.(Quoique normalement le tarif avec nous c'est 2h dans la vue!!!)


Philippe met 7h40 sans entrainement, ça c'est vrai mais en gérant sa course de maniére magistrale c'est à dire en partant trés prudemment. Donc pas de crampes, pas de douleurs.

Et moi je met 7h44 en m'entrainant et en étant parti surement trop vite, mais qu'est ce que j'étais bien pendant 30km puis d'un seul coup plus de jus!!! J'ai perdu 3kg et je pense que je ne me suis pas assez hydraté pendant le course, d'ou le coup de mou.

Enfin bref un trail à faire au moins une fois et surtout un trail qui fait parti du Challenge du sud est avec le trail du Ventoux (magnifique!!!) et le Merell Sky Race de Serre Chevallier. Disons que ça peut être un beau challenge pour les prochaines années.

Prochain gros rendez-vous, le 21 Juin pour l'Aubrac Ultra Trail...

 

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26 avril 2009 7 26 /04 /avril /2009 20:15
Samedi 2 mai nous partons faire ce trail de 57 kms et 2450m D+.
Ce sera notre premiére vraie sortie en vue de notre défi et honnétement on ne sait pas où l'on va?
Emeric sort de blessure, Philippe a beaucoup de mal à s'entrainer à cause du boulot et moi je m'entraine mais j'ai du retard par rapport à eux.
Donc advienne que pourra.
Pour vous donner une idée, le site Softrun me donne un temps de 8h30 ce qui fait une moyenne de 6,7 km/h (un peu lent!?!) je tablais plutôt sur 7h20.
Pour vous donner une idée voici le profil de cette course:

et le parcours si vous arrivez à le lire:
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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 11:27
Bibi l'a fait!!!
74h10 pour 981 kms.
Bibi a respecté son planning à la minute prêt. Pour exemple, lundi matin il est passé dans son timing (soit 7h35) a Villeveyrac aprés être parti à 5h du mat. 0' de retard aprés 50km déjà effectués c'est énorme.

Son choix pour cette diagonale était de rouler moins vite, mais de faire des haltes beaucoup plus courtes.
Bilan: 18' d'arrêt samedi, 50' dimanche, 50' lundi et 14' mardi soit 2h12 d'arrêt pendant le roulage.
Il aura passé un peu plus de 46h sur son vélo ou 44h en enlevant ses temps de pauses.

Il a fait ce choix suite à ses expériences sur sa diagonale Strasbourg/Perpignan et la course Paris/Brest/Paris.
Il considérait qu'il avait perdu beaucoup trop de temps lors de ses pauses ce qui l'avait obligé à rouler plus vite et à se faire vraiment mal.
Aprés l'avoir eu au téléphone seulement 2h aprés la fin de sa diago, hormis une fatigue normale due au reveil matinal et aux 980 kms effectué il ne sentait pas trop ses jambes et son cul.

Son expérience devrait nous servir pour la PTL.
Doit on faire des pauses longues ou courtes? Le maître es tempo nous conseillera.
Sa gestion de l'alimentation sera aussi pour nous un bon exemple.

(ecrit par benoit)
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2 avril 2009 4 02 /04 /avril /2009 19:46

Chez les trailers on connait tous "La Diagonale des Fous" de la Réunion.
Mais qui connait les Diagonales à Vélo, des traversées de plus de 1000 bornes à faire dans un temps imposés, sans assistance et en passant par des points imposés: 1000 bornes assis sur une selle, seul dans le froid, la pluie et les voitures qui ne font attention à rien ou si c'est pas la pluie c'est la chaleur.
Et bien figurez vous que nous avons dans notre entourage un de ces fous.

Nom de code: Bibi
Mensuration: 1.80m et 85kg (beau bébé)
La quarantaine bien tassée.
Des milliers de kms au compteur.
Jugez plutot: en dehors de ses entrainements, une petite balade Paris/Dakar, une traversée de l'Amérique du Sud et ces 2 derniéres années Paris/Brest/Paris (63h pour 1200Km) et une petite diagonale Strasbourg/Perpignan (73h pour 1000Km).

En clair un gars qui a un bon coup de pédale.


Article Dauphiné Libéré aprés Paris/Brest/Paris


Et bien ce dou dingue remet le couvert ce Week end (6/7/8 Avril)avec Hendaye/Menton en moins de 78h, une "petite diagonale" de 940kms. Il y a la possibilité de le suivre sur internet grâce à une balise spot ou de le voir sur la route.(laisser nous un message et nous vous donnerons toutes les infos)
Pour vous donner une idée de "l'esprit diagonaliste" vous pouvez faire un tour sur leurs site.link
Le pire, c'est que pour lui ce n'est pas un exploit et que c'est nous les fous!!!

                        Mais une chose est sur, plus on est de fous, plus on rit!!!

Une derniére info sur ce gars, quand il n'est pas sur son vélo il fait notre assistance sur l'UTMB.

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28 mars 2009 6 28 /03 /mars /2009 20:30

Nous étions aujourd'hui à Montpellier sur les rive du Lez, pour la journée nationale contre les maladies cardio-vasculaires.
Occitanie Sport Aventure proposait un parcours "urban training" ( parcours de santé utilisant le mobilier urbain) lors de cette évènement organisé par Coeur et Santé. D'autres associations comme Montpellier Languedoc Cyclisme étaient elles aussi au rendez vous pour faire de cette journée de solidarité une fête du sport.

Mais la fête fut vite gâchée par la météo. Après deux départs en groupe sur notre parcours et un départ sur le parcours VTT, la pluie est venue anéantir tout le travail effectué par les différentes associations. La motivation et la bonne humeur des membres de Coeur et Santé n'ont pas suffit. Le public est venu en petit nombre préférant sans doute rester au chaud chez lui... Je les comprends...

Merci à tous ceux qui se sont investis et à ceux qui sont venu malgré le temps.
 

           consulter notre page Parcours du Coeur

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